ASOCARS affirme que le projet de loi de Páramos comprend de bonnes intentions pour leur protection avec la gestion et le travail des sociétés autonomes régionales, mais ce même lui enlève les ressources économiques pour remplir sa mission. ASOCARS appelle le Président de la République à s'opposer.
Grande préoccupation concernant le projet de loi qui vise la conservation des páramos, a déclaré l'Association des Collectivités Territoriales Autonomes et Développement Durable ASOCARS, puisque ce projet de loi les affaiblit.
"Nous précisons que nous sommes d'accord avec l'objet du projet de loi visant à la conservation des landes, cependant, met en péril non seulement la mise en œuvre des mesures adoptées sur la base des landes, mais aussi l'exercice de l'autorité et une gestion environnementale poussée sur l'ensemble du territoire, analyse qui nous permet de présenter des raisons suffisantes d'inconstitutionnalité et d'inconvénient, demander respectueusement mais avec une conviction absolue au Président de la République Juan Manuel Santos, s'opposer à ce projet de loi et le renvoyer au Congrès de la République pour amendement", a déclaré Ramón Leal Leal, directeur général d'ASOCARS.
Selon ASOCARS, ce projet de loi a une vocation centralisatrice, puisqu'il prend comme ressources financières pour sa mise en œuvre deux rentes de la RCA: Transferts du secteur de l'électricité de TSE et redevances pour l'utilisation de l'eau, TON, ressources générées et gérées à partir des régions, qui serait administré et distribué par le gouvernement national, contraire à la Constitution politique, ainsi que la loi 99 de 1993, concernant la gestion et l'allocation des ressources pour la gestion environnementale, à la tête de la RCA, générant un voile d'inconstitutionnalité sur ce texte.
Dans les motifs d'inconvénient, on fait valoir les transferts du secteur de l'électricité, car il provoque une concurrence néfaste entre les entités qui composent le Système National de l'Environnement, de même que les RAC et les Parcs naturels nationaux concernant les ressources qui correspondent juridiquement et historiquement aux RAC.
« Une série de programmes et de projets autour des ressources en eau et de la gestion de l'environnement sont laissés sans financement, se concentrer sur les ressources existantes rares et limitées pour la gestion environnementale, étant contraire au renforcement institutionnel exigé par ces autorités environnementales pour se conformer non seulement à l'administration adéquate des páramos, mais avec une série de défis environnementaux présents dans chacune des régions ", a déclaré Leal.
En este sentido, On ne sait pas comment le RAC exécutera l'accumulation de fonctions prévues dans le projet de loi, encore plus, leur permanence en tant qu'entités techniquement solides présentes sur le territoire, ce qui affaiblira davantage la gestion environnementale dans le pays.
Ce qui précède sont quelques-uns des arguments d'inconstitutionnalité ou d'inconvénient que l'ASOCARS a identifiés de ce projet de loi, elle réitère donc sa demande au Président de la République de s'opposer à ce projet de loi de manière à ce qu'il s'adapte aux besoins et aux exigences de la protection de l'environnement. institutionnalité qui permet de remplir la finalité du projet.
Laisser une réponse
Désolé, vous devez être lié pour poster un commentaire.